Depuis quelque temps, une idée me trottait dans la tête.
À quel point nos débats en ligne sont-ils encore vivants ?
Est-ce qu’on peut encore discuter, argumenter, réfléchir… ou est-ce devenu une arène où chacun crie plus fort que l’autre ?
Alors j’ai fait un test. Un laboratoire numérique du chaos. Avec l’aide de ChatGPT, j’ai balancé des commentaires percutants, des phrases bien senties, tantôt provocatrices, tantôt nuancées, sur les sujets qui font réagir : politique, travail, immigration, société. Pas pour défendre un camp ou un autre, mais juste pour observer les réactions.
Et le résultat ?
Un mur de bruit, une tempête d’émotions, et une incapacité presque totale à sortir du clash permanent.
Facebook, X, Instagram ces grands terrains de jeux minés !
Dès que tu lâches une phrase qui sort du consensus, c’est immédiatement l’attaque frontale :
👉 On ne répond pas aux arguments, on attaque la personne.
👉 On ne nuance pas, on simplifie à l’extrême.
👉 On ne cherche pas à comprendre, on veut gagner.
👉 On ne débat plus, on s’indigne.
C’est un champ de bataille. Mais pas un champ de bataille d’idées. Plutôt un concours de celui qui crie le plus fort.
Un algorithme qui nous enferme dans nos propres certitudes
Ce qui est dingue, c’est qu’on sent que chacun vit dans sa propre bulle, dans une réalité algorithmique qui ne fait que confirmer ce qu’il pense déjà.
J’ai testé plusieurs angles :
🗣 Critiquer la rhétorique politique du ‘Sans nous, c’est le chaos’. Résultat ? Certains y voient une critique du pouvoir, d’autres un argument populiste.
🗣 Remettre en question le mythe du ‘trouve un boulot et tais-toi’. Résultat ? On me traite soit de gauchiste assisté, soit de mec naïf qui croit que le travail résout tout.
🗣 Parler d’immigration et des discours biaisés. Résultat ? Explosion immédiate.
Plus un sujet est sensible, plus les réactions sont automatiques. C’est comme si chacun répétait une partition déjà écrite, sans jamais écouter la musique de l’autre.
Pourquoi ce test ?
Parce que les réseaux sociaux ont transformé nos échanges en punchlines, en slogans, en baston permanente. Parce qu’au lieu de réfléchir, on se radicalise dans nos propres idées.
Et parce qu’il faut peut-être se demander :
👉 Sommes-nous encore capables d’avoir un débat sans nous entretuer ?
👉 À force de ne plus écouter, sommes-nous en train de scier la branche sur laquelle repose toute société ?
👉 Comment sortir de cette boucle infernale et retrouver une vraie conversation ?
Et si la musique était la réponse ?
C’est là que BCPC viens te sauver !
Parce qu’au milieu de ce bruit assourdissant, il y a une chose qui a toujours surpassé les clashs et les discours creux : la musique et surtout le rock’n’roll !
👉 Le rock’n’roll, le punk, le garage ont toujours été des armes contre la connerie ambiante. Quand les mots ne suffisent plus, c’est le son qui parle. Quand les débats tournent en rond, c’est l’énergie brute qui explose. Quand tout semble mort, la musique te réveille.
Et c’est exactement ce que BCPC fait sur scène : mettre une baffe sonore à une époque qui tourne en boucle.
🔥 Du rock’n’roll brut, des textes acérés, une énergie qui ne triche pas.
🔥 Un pied de nez à une époque trop formatée, trop aseptisée, trop coincée.
🔥 Une musique qui cogne et qui fait sauter les barrières.
👉 « Allez viens on n’en a rien à foutre c’est juste pour s’marrer, On n’a plus rien d’autre à faire que d’rigoler » – BCPC, « Tanz Tanz »
👉 « J’aime bien Johnny B Goode, c’est roll, c’est bong, c’est good, moi j’préfère ça au jazz, d’la musique de beat » – BCPC, « J’aime bien l’rap »
👉 « Obéit à ton réveil le matin, obéit à ton lave-linge » – BCPC, « Oui c’est bien ! »
👉 « Les rues sont toutes vides, les gens ont tous une opinion » – BCPC, « La Poésie Bordel ! »
👉 « Quand ça déconne là vient BCPC et ses lyrics écrits sur un papier » – BCPC, « C’est super »
👉 « Foutre un son d’guitare sur son trick ça fait kiffer les gens pacifiques » – BCPC, « Rockeurs Alcooliques »
👉 « J’en ai marre des gens qui s’tapent des barres et qui s’ croient malins lorsqu’ils fument des pétards » – BCPC, « La Poésie Bordel ! »
👉 « Oui c’est bien, ne fais rien : obéir c’est pas bien ! » – BCPC, « Oui c’est bien ! »
👉 « C’est super à l’envers c’est perçu à l’issue du vers ça d’vient superflu » – BCPC, « C’est super »
Parce que quitte à ne plus pouvoir débattre sans s’entretuer, autant monter le volume et réveiller les cerveaux.
📢 Viens prendre ta claque sonore avec BCPC. Parce que si on ne peut plus parler, on peut toujours gueuler.